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    Sur les longs chemins parfumés
    D'un air brumé de gouttes enchantées
    Un être errant profitait
    D'un instant fabuleux de paix.
    La lugubre nuit paisible
    Etait chantonnée par un vent limite perceptible
    Il poussait l'envahissante noirceur du ciel.
    Et se laissa envahir par une lumière perçante rebelle.
    La danse de l'obscurité avait commencé
    Et la jeune fille continua à avancer.
    Sous un décor parsemé de poussière céleste
    Ses yeux sous levé de la lune plus rien ne compte, plus rien ne reste.

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